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Une fourmi au bout des doigts
26 septembre 2020

Souviens toi de cet été !

Bonjour,

En Alsace, le temps est bien maussade aujourd'hui. Les températures ont chuté, et la pluie a fait son apparition depuis quelques jours. Nous entrons progressivement dans l'automne.

Parlons un peu tout d'abord des concours de nouvelles. 

Ils sont nombreux, certains gratuits, d'autres demandent une petite participation financière. Vous trouvez de nombreux sites qui vous en proposent, je pioche pour ma part dans celui-ci et personnellement, je me contente de participer à ceux qui sont gratuits.

Se prêter au jeu d'écrire une nouvelle paraît facile de prime abord, mais l'exercice est parfois périlleux, surtout quand on doit jongler entre les thématiques, les phrases ou mots imposés, le nombre de pages ou de signes, le genre,... proposés par chaque organisateur. 

J'évite les thématiques libres, car je tombe dans la facilité de proposer systèmatiquement un genre que j'affectionne. Quand le thème est imposé, cela m'oblige à me remettre en question, à essayer d'autres styles d'écriture, à raccourcir un écrit ou à le rallonger.

Le prix à gagner ou lot ne rentre pas en ligne de compte dans mes choix de concours. L'écriture reste un plaisir avant tout, même s' il est appréciable de voir apparaître son nom de plume dans un petit livret ou recueil.

Il en est ainsi de la nouvelle que je vous propose : "Souviens toi de cet été !". Nouvelle qui a été séléctionnée au mois d'août par la Nouvelle Quinzaine Littéraire .

Consignes : genre policier, signes imposés max 4700 espaces compris et débuter le récit par "Elle n'avait rien remarqué d'anormal". Pour la petite anedocte, je m'étais trompée et j'avais commencé ma nouvelle par "Elle n'avait rien d'anormal". Ne voulant pas me creuser les méninges à proposer un nouveau récit, je me suis contentée de rajouter un petit paragraphe au tout début. 

Assez de bavardage, et bonne lecture....

« Souviens toi de cet été » 

Elle n’avait rien remarqué d’anormal, pourtant elle l’avait bien vu ce couple. Elle les trouvait attendrissants comme les pigeons qu’elle nourrissait chaque jour dans le parc avec les quignons de pain qu’elle trouvait en faisant les poubelles.

« Oh et puis monsieur, ça change un peu de ces petits galopins qui crient à tue-tête de nos jours »

« Oui, je les ai vu, mais bon, j’allais pas rester là à les épier, j’avais autre chose à faire ». 

Gabrielle D. non plus n’avait rien d’anormal, strictement rien... LASUITE Ici

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